Déposé le 07/01/2014 à 15h47
Dans le cadre de la loi actuelle, où les euthanasies ne seraient pratiquées que sur des personnes le demandant expressément et ayant toutes leurs facultés mentales, il y a toujours des doutes importants de la part des différents acteurs intervenant dans le processus, par rapport à la « véritable » liberté exercée lors de la prise de cette terrible décision.
En effet, ces personnes fragiles souffrant de maladies graves, incurables et souvent longues, se trouvent dans des situations d'extrême dépendance par rapport à leur famille ou au personnel infirmier et médical. Leur dépendance est non seulement physique mais aussi psychologique. Dès lors, comment pouvons-nous garantir, en toute certitude, que ces personnes fragiles et dépendantes, puissent choisir librement ? N'y aurait-il jamais de pressions plus ou moins inconscientes de leur entourage ...
Déposé le 07/01/2014 à 15h46
Nonobstant la prise en charge, en conscience, de la douleur de l'enfant et des familles concernées, il est important de promouvoir la vie plutôt que la mort dans notre société!
La souffrance physique et morale fait partie intégrante de la vie de l'Homme (un jour ou l'autre, nous y passerons tous), l'important est d'y apporter des réponses positives qui vont au-delà d'un acte comme l'euthanasie ...
Lire « Quelle réponse à la souffrance ? »
Déposé le 07/01/2014 à 15h45
La maman d'Isabella dont le témoignage figure à l'indice 1'49, habite Schaerbeek.
Voici ce qu'elle écrit...