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... étendre l'euthanasie aux enfants et aux personnes démentes ?

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Légalisation de l'euthanasie : impossible d'éviter le phénomène de pente glissante

Déposé le 10/04/2014 à 19h22

Margareth SOMERVILLE
Prof. et Bioéthicienne

Par Margareth Sommerville, dans le Calgary Hérald, le 3 mars 2014. Margareth Sommerville est la fondatrice et directrice du Centre McGill pour la Médecine, l'Ethique et le Droit de l'Université McGill à Montréal

Les promoteurs de l'euthanasie soutiennent que l'euthanasie, si elle est légalisée, serait réservée aux seules personnes en fin de vie et limitée à des cas exceptionnels, lorsque la souffrance serait impossible à soulager...

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Aujourd'hui, la Belgique n'est plus la même !

Déposé le 14/03/2014 à 17h31

Pierre VAN de PUTTE
Cadre

Certes, la loi a été votée (et c'est vraiment triste), mais ...

La Belgique a commencé à changer parce que vous avez entrepris et mené, certains depuis (très) longtemps, cette lutte contre la désinformation et la manipulation, et pour un traitement vraiment humain des personnes en souffrance, en particulier les enfants...

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Ce qui fait soin, c'est ce qui fait lien !

Déposé le 24/02/2014 à 17h25

Marie FRIEDEL
Infirmière pédiatrique, Formatrice en soins infirm

Observer

Ce qui me pousse à m'exprimer est avant tout un sentiment diffus de malaise, voire même de colère face à l'extension de la loi sur l'euthanasie chez les mineurs votée le 13 février 2014 à la Chambre des Représentants à Bruxelles. Je vais par conséquent partir de là, de ce qui m'émeut, fait bouger au sens étymologique du terme...

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Interview

Déposé le 19/02/2014 à 14h08

M. Drieu GODEFRIDI
Chroniqueur

Se disant apolitiques et aconfessionnels, les « Dossards jaunes » manifestent régulièrement pour dénoncer symboliquement l'inefficacité du contrôle de la législation relative à l'euthanasie et le laxisme de sa commission. Opposés à l'extension de l'euthanasie aux mineurs – qui devrait être votée ce jeudi par les députés-, ils réclament qu'un véritable débat démocratique ait lieu et que le Conseil d'Etat soit consulté. Interview de Drieu Godefridi, porte-parole de ce collectif citoyen.

Le Journal du médecin : Vous avez déclaré ce projet de loi « complètement inutile car offrant une soi-disant illusion à un problème inexistant ». L'extension de la loi sur l'euthanasie aux enfants va, selon toute vraisemblance, être définitivement adoptée cette semaine. Votre réaction ...

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"Il n'y a pas d'âge à la souffrance..."

Déposé le 13/02/2014 à 15h07

Jean-Paul VAN DE WALLE
Avocat

... donc pas de limite d'âge à l'euthanasie. Et tout est dit.

Voilà comment, par le détour d'une poignée de mots biens choisis, un habile politicien est récemment parvenu à réduire un débat complexe en une occasion lui permettant d'exprimer un message qui, de prime abord, paraît aussi cohérent qu'acceptable...

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D'autres solutions que la barbarie ?

Déposé le 13/02/2014 à 14h38

Myriam TERLINDEN
Thérapeute familiale

Thérapeute familiale rencontrant toutes sortes de familles dans l'épreuve, je ne peux qu'exprimer mon appréciation à la prise de position de Madame Marie-Christine Marghem, et parue dans la Libre Belgique. Non polémique, Madame Marghem a mis le doigt sur une question de fond: comment combattre la souffrance ?

Ceux qui sont pour l'euthanasie sont-ils les seuls à vouloir supprimer la souffrance ? Est-ce complètement barbare de vouloir chercher d'autres solutions ? Peut-on supprimer la souffrance en supprimant celui qui souffre ...

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Je suis pour le progrès... donc je suis contre l'euthanasie !

Déposé le 12/02/2014 à 13h03

Laura RIZZERIO
Prof. Philosophie, UNamur

Depuis quelques jours, en Belgique, on peut assister à un débat animé autour des « actions » de chrétiens qui s'opposent à l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs d'âge. Une des idées la plus souvent utilisée pour disqualifier ces actions est l'idée de « progrès ». On accuse ceux qui s'opposent à l'extension de la loi sur l'euthanasie d'être des anti-progressistes et de nuire donc à la société.

Or, ce qu'il y a de curieux, voire d'anormal et même d'irrationnel, dans l'utilisation de cette idée de progrès, c'est que le terme « progrès » n'est jamais défini. Il est accueilli comme une sorte de « dogme », qui suppose cependant l'acceptation tacite d'une équivalence bien précise : celle entre progression de l'humanité et extension des «libertés» de l'individu, conçu comme capable et autonome. Dans cette définition « implicite » de progrès, aucun autre critère ne semble être pris en compte sauf la possibilité pour un individu de faire ce qu'il veut de ce qui lui « appartient », y compris de sa vie. Dans ce cadre, il devient alors compréhensible que la libéralisation de l'avortement, le mariage pour « tous », la procréation médicalement assistée, la gestation pour autrui, l'euthanasie et toutes les autres possibilités agrandissant la prétendue liberté des individus, soient identifiés au « progrès » et donc à un bien. Et que le discours que s'y oppose soit associé à un mal à éviter...

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