Déposé le 06/05/2013 à 16h04
La clause de conscience est un droit fondamental de toute personne travaillant dans le milieu médical. Dans un domaine où l'on touche de si près à la mort, donc au sens de la vie, comment pourrait-on ne serait-ce qu'imaginer l'absence d'une telle clause, l'absence de cette liberté fondamentale de ne pas participer à un acte provoquant la mort ?
Pourtant, sans avoir l'air d'y toucher, la nouvelle proposition de loi veut la modifier : le "médecin-objecteur" serait désormais obligé de communiquer le dossier à un médecin favorable à l'euthanasie pour assurer la continuité des "soins"...
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